Don't wanna see your face no more!

Je crois que j'n'y peux rien, c'est comme ca, ca va ca vient, j'ai plus vraiment de prise dessus, je fais avec. Avec qui, avec quoi? Avec mon fidèle ami, et l'envie.
Pas celle de Johnny, même si des fois ça l'est aussi. Ouais je sais, c'est pas très concis.

Well, so tell me... "How are you?" What a stupid answer in regards to the rest of the world around? Going nowhere, and doing nothing right, I'm gonna be a another tiny tiny piece of the chaotic puzzle so called Earth.

Je sais pas si mon anglais est parfait et à vrai dire je m'en fous, je suis même pas satisfaite de la fin de la phrase mais réfléchir avec la JBT music à fond dans les esgourdes... cimer. Et puis, qui va encore sur les blogs? A part quelques gamines de 13 ans surexcitées et carrément précoces, auxquelles l'outil internet sert de Meetic hardcore (kass-dédi t'as vu), y'a plus personne qui va sur la blogosphère sauf pour aller dire salut a Pénélope, Betty et toutes les bloggeuses en vogue. Soit. Bref. Ca aussi je m'en tamponne le coquillard comme dirait je sais plus qui. J'suis pleine d'incertitudes, aujourd'hui..
En fait, y'a p't'et'e bien une certitude, celle d'en avoir plus que ras la casquette de la stagnation. Non pas des eaux, mais des situations. J'sais pas comment font les gens enfermés dans leur routine, j'avoue que je m'imagine pas sur le fil du métro-boulot-dodo, c'est pour ca que je voulais être grand-reporter, ou artiste, histoire de pouvoir voir, toujours, des choses nouvelles... le truc étant que je suis mal barrée, j'me suis cassée la gueule et je suis jamais remontée en selle... ca craint. Entre un avenir qui se barre en couilles et une frustration aussi longue que la queue de Mr Siffredi, comment je la joue moi? Je peux me sortir de rien.
Vous me direz en regard de tout ca, qu'on peut toujours se sortir des choses compliquées, si on en à la volonté, l'envie! Ah la pétasse la revoilà cella là! C'est là tout le soucis.

Ouais, si on doit être motivé en toutes circonstances, comment ca marche, si t'as tellement l'habitude d'être en mode loose que t'es plus envie de rien tenter de peur, que dis je... de rien tenter tellement t'es persuadé que rien n'marchera plus?
Tu tente de bosser, tu te retrouve à refaire ce que tu voulais surtout plus, ou un truc rébarbatif ou le cerveau fait plus que de l'automatique. Tu tournes en ronds comme un lion en cage a tel point que tu sais même plus employer ton temps libre à t'éduquer toi meme. A prendre du temps pour la musique, les bouquins, et tout ce que t'aime... comment tu fais, si t'es tellement déçu, que tu trouve que ca vaut même plus la peine de le tenter? Tu te détruis plus ou moins consciemment, en sauvant la face. Ou pas, parce que même sur ça tu perds cette putain de prise pseudo rassurante, l'image... de soi, de tout.
J'ai plus d'envies pour moi.

C'est fun, John Butler, il est passé du coté rock'n'roll de la force musicale.. j'dois avouer que c'est mon trip ce renouveau d'influences. Vite le 1 mai!
Ceci mis a part, ca pousse mon sentiment d'énervement la musique, allez savoir si je le fais exprès. Dans le choix... Finalement je suis pas certaine de ne plus avoir d'envies du tout. J'aimerai vraiment pouvoir régler mes comptes, les solder par un dégagement de terrain. Mon titre d'article illustre.
Y'a un absentéisme complet du sens des réalités. J'essaie de me "battre" contre ça, ou plutôt me débattre, et ca joue sur ma frustration. J'sais, j'ai 21 ans.. et après, ça veut pas pour autant dire, qu'on peut me prendre de haut, c'est pas parce que je suis une fille que j'ai pas de corones, jusqu'à preuve du contraire je me suis encore jamais laissée bouffer. Même si faut avouer que la c'est plus délicat, j'estime que j'ai un droit de réponse. Plus il tarde, plus je boue.
Plus mon envie c'est... ! J'crois que j'vais m'lacher, d't'façon... ! J'ai pas l'air mais... parait qu'i'faut se méfier de l'eau qui dort.

C'mon now!

People all grow up to die...

Décidément, je ne sais vraiment pas tenir un blog...
Depuis octobre, bien des choses ont changé! Heureusement, en quatre mois, une situation inchangée eut été fâcheuse! Comme je n'ai pas le cœur à écrire des milles et des cent... je vais faire une petite liste des nouveautés 2010, attention!

• - Toujours à Nord Eclair, j'ai un rythme de 8 articles par mois, honorable.
• - Ma tante m'a offert un travail, dans sa boulangerie pâtisserie: je fais les sandwichs. Ca permet de payer Robin, de façon très juste.
• - Larissa est partie... elle nous manque cette petite allemande.
• - La situation décrite plus avant a empirée... j'adore. Deux semaines. J'aime.
• - Scolairement c'est toujours la galère, on reprend les démarches avec de nouvelles photos en poche.

Bref, ça fait un peu balance, si ca va d'un coté, ca ne va pas de l'autre... Nice.

Banana, banana, banana, terracotta pie!

I think I like the wednesdays...

Sans le vouloir, je suis régulière du mercredi.

Il y a peu de chose à raconter. Pendant que le porte monnaie se vide doucement, les rentrées d'argents se font attendre, et ne daignent pas venir a moi... Le problème c'est que cela commence a devenir "rik-rak", je suis pas dans le pire des cas, mais ca devient dur.
Heureusement que le mois d'octobre, du moins sa fin, rime avec arrivée de sous, même maigre, c'est une arrivée qui va faire du bien a monsieur mon compte en banque.

Bref.

Je ris de voir les situations dégénérée, même si foncièrement, c'est au détriment de la mienne... peut être que ce sera probant quand le pas sera franchi. Pour l'instant, encore une fois, wait & see.
Je ne sais pas comment on peut oser faire ce genre de chose. Se donner en spectacle, afficher une paranoïa sans raisons... c'est affolant, et d'autant plus que cela semble accepté, normal, déjà par ici donc non inquiétant. Alors je ne sais pas ce qui est le plus aberrant, le fait de n'y voir aucun dérangement psychologique ou le fait d'en jouer. J'ai envie de claquer le tout, mais je ne peux pas.
Coincée. Toujours. Mais la stratégie va changer... pour peu qu'on m'en donne les moyens... Le spectacle est épuisant et des tiers sont de plus en plus mêlés. Moi, je ne trouve pas ça normal, et je sais que je ne suis pas la seule.

Not sure.

De l'inconvénient d'être né.

Tout ça pour regarder défiler les heures et le temps, voir les choses évoluer ou non, ne pas comprendre le pourquoi du comment.
Révoltant.
Voilà le seul mot qui me vienne à l'esprit. Et surtout qui concorde avec le ressenti que j'ai fasse à toute cette situation. Je suis révoltée et impuissante. Complètement frustrée de mon impossibilité d'actions.
Que ce soit dans ma vie directement, dans mon environnement, je suis coincée. Plus j'ai l'impression d'avancer, plus en fait je m'enfonce dans une inextricable spirale... C'est ça inconvénient de la naissance. Sans avoir choisi de venir au monde, de voir le jour, l'on est projeté dans ce que l'on appelle la "vie". Peu évidente, souvent cruelle, on ne l'encaisse pas toujours bien et elle est plus aisée pour certains que pour d'autres. On doit l'assumer quoi qu'il en soit, la faire évoluer, la réussir ou la rater.

C'est un cadeau empoisonné, si tant est que ce soit véritablement un cadeau. La naissance de son enfant, c'est la volonté égoïste des parents de se voir immortalisés. Leur descendance n'est que la prolongation de leur propre être et si une mère demande à son enfant adulte des petits-enfants, au fond, c'est pour être sûre de perdurer, de vivre encore même en n'étant plus là.

Later, I'll develop.

I didn't know what to do...

Listenning to Scarlett Johansson album, I'm wondering where is summer. 'cause yes, this album smells like a summer sun...

A vrai dire le titre de l'article est plutôt en adéquation avec mon état actuel. Je ne sais pas quoi faire. Je me demande sans cesse si je fais bien, si j'ai bien choisi. Le monsieur Yorn le dit encore à l'instant dans une autre chanson, "I wonder what I'm doing". Décidément.
Entre le vide et le rien, difficile de ne pas choisir.

Myself..

They call me...

La fille qui sais pas êtres régulière... c'est fou, je sais pas me tenir au fait de faire un article par jour, et pourtant je suis loin de pas avoir de temps. Je vais tout renommer en "A chronicle a week", ce sera plus simple pour moi! Non, je dois essayer de le faire quand même, c'est mal sinon.

Bon, et bien sinon, ca continue de paraitre ces petits articles, c'est bien, même si y'a des fautes dans la version net... bizarre, je regarderai si c'est pareil dans la version papier. Premier gros article, je suis un peu fière, y'a pas vraiment de quoi mais c'est pas grave. Il faut dire que je suis pas très occupée, j'attends toujours de trouver un maître d'apprentissage.
La dame du CAD de la CMA (très compréhensible tout ça), lors de notre entretien, m'a dit que ma lettre était bien, que mon CV était bien... alors qu'est ce qui cloche? Pourquoi personne ne veut de moi? Allez comprendre. Un artisan c'est sensé aimer son métier et tout le tralala, mais aucun ne veut le transmettre... y'a un secret qu'on peut avoir que si on a les tests d'entrée? Comme chez les sorcières? J'attends!

A part ça, pas grand chose de fait, entre mission Nord Eclair-ienne et glandouille, je suis pas top. Ca reviendra.
Chose drôle, il m'est arrivée une aventure, je suis sortie avec les chimistes et après ca et la nuit que j'ai passé, je peux faire une croix sur ma "to-do list antero mortem" ! Trop forte... si on veut quoi.

Dirty.

All over again.

Je voulais tenter d'être régulière mais je ne le suis pas, c'est fou, j'ai du mal a me canaliser, pour tout d'ailleurs, c'est peut être pour ca mon état, ma frustration, enfin cet impression de blocage permanent au niveau des choses que je vis... perpétuelle sensation d'étouffement.

Bref... j'ai envie de dire bref, oui.
Comme on peut le voir ci contre, la vie ne va pas si mal! Je suis corres' locale de presse, c'est pas hyper glorieux mais c'est formateur dira t on. Merci Papa. En attendant je ne sais toujours pas ce que je vais faire de mon année j'ai comme la sensation que ca va être une année "vide" du genre de celle ou on ne fait que bosser, vous savez? Bosser comme caissière ou chez Macdo en attendant que les études veuillent bien de vous a nouveau. Je verrais, je ne me décourage pas. Avec de la chance la communauté urbaine voudra peut etre de moi pour l'an prochain, ou le monsieur du studio de demain me prendra... faut voir, j'attends. Pour changer, j'attends que ma vraie vie démarre. Parce que pour moi, depuis 3 ans, ce n'est pas ma vie, mais une simili-life, pas cool, et surtout écrasante. Tellement que j'ai plu confiance en rien. Prions le dieu qui n'existe pas, pour que ma foi, je reprenne tout cela.
Le cheval, les cours, un souffle.

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